Un petit testalacon sur un site qui me dit:
Comment vous fait-on craquer ?
On ne tombe pas amoureux(se) de n'importe qui. Nos attirances ne sont en général pas dues au hasard. Dressez le portait type de ceux (celles) qui vous font vibrer !
Ni une ni deux, je réponds aux questions et voilà le résultat:
Les écorché(e)s vifs(ves) vous font craquer.
La tiédeur ne sied pas aux histoires d'amour. Vos aventures doivent vous transporter, vous faire vivre des émotions fortes. Vous avez le chic pour être sur la même longueur d'ondes que vos partenaires. En avant pour des relations complexes sur lesquelles plane le souffle de la passion. C'est pourquoi vous décelez rapidement parmi vos interlocuteurs(trices), ceux dont le parcours vous fait vibrer. Sensibilité, expérience, passé riche en rebondissement... Vous aimez les êtres d'exception. Vous passez des heures à discourir sur vos sentiments et la difficulté de vivre à deux... Pour vous séduire, votre futur(e) partenaire doit jouer de sa personnalité en contraste, vous faire comprendre qu'on ne s'ennuie jamais avec lui(elle), vous emporter dans les tourbillons d'une histoire forte. Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ?
Commentaires et Trackbacks
1. Le samedi 17 mai 2008 à 16:28, par ezor
Dommage ! Dommage que trop de monde réagisse de la sorte, se disant l'ennemis de la musique dite clasique. Tous les compositeurs ont eu de l'humour.
Mozart n'en avait il pas quand il écrivit l'air de "papageno" dans la flute enchanté?
La musique dites classique (je dis "dites classique" car il y a aussi le baroque, le moderne, le romantisme qui sont, et c'est une faute, assimilés au classicisme) est si vaste qu'on ne devrai pas dire que l'on n'aime pas, mais plutot que l'on a pas encore découvert le compositeur ou la periode qui nous plait.
Sinon, le duo des chats de rossini chanté comme cela est une vrai merveille.
Bonne journée,
(excusez les fautes)
Effectivement, mon désamour pour la musique classique résulte peut-être d'une part de méconnaissance, mais il faut reconnaitre que le monde des musiques "classiques" (et assimilées) est réputé "guindé" et reflétant une certaine élite sociale dont je ne me sens pas faire partie, même s'il doit certainement y avoir des exceptions à cette règle.
J'admets volontiers ma méconnaissance de ces musiques (classiques et assimilées) car sorti de Vivaldi (Les 4 saisons), Mozart ("la petite musique de nuit" et "la flûte enchantée"), Mahler (découvert grâce à une chanson de Pierre Perret ("Mon p'tit loup") qui m'a donné envie d'en écouter deux ou trois morceaux ainsi que la "symphonie pathétique" de Tchaïkowski, et donc ce fameux "duo des chats" découvert grâce à ma passion pour les félins, je suis, je le reconnais, relativement inculte en musique classique (et assimilées).
Cela ne me manque pas, étant donné que j'apprécie d'autres styles de musique et de chansons (parfois considérées avec un certain mépris par les amateurs de ce qu'ils appellent eux même "la grande musique").
Je terminerai donc ma réponse en citant l'humour de Georges Brassens dans sa chanson "Le pluriel":
"Je suis celui qui passe à côté des fanfares
Et qui chante en sourdine un petit air frondeur
Je dis à ces messieurs que mes notes effarent
'Tout aussi musicien que vous, tas de bruiteurs!' "
3. Le mercredi 28 janvier 2009 à 09:20, par marie
salut, si tu veux de l'humour en musique classique, écoute la symphonie des jouets de Léopold Mozart (le père). Sa te plaira surement.
Merci du conseil! je n'y manquerai pas